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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 10:01
 
 
 
 
      Mercredi 15 mars, j'ai fait une présentation sur le Carnaval de Granville aux résidents. Cela a été un moment convivial mais surtout un riche échange de leur vécu et du mien.
 
 
 
 
 
 
 
 
Durant cette après-midi, je leur ai présenté l'histoire du Carnaval. Ensuite, l'entrée du Carnaval de Granville au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO, le 30 novembre 2016. Puis, les différents chars de la cavalcade ainsi que le programme de cette 143ème édition. Et enfin, je leur ai  présenté chaque photos que je possédais ainsi que celles de l'animatrice coordinatrice et  du kinésithérapeute. J'ai pu également leur montrer d'anciennes photos du Carnaval et différentes affiches retrouvées sur internet.
Pour cette présentation, j'ai  utilisé des moyens papiers, en particulier les journaux, et des moyens technologiques.  D'abord avec une projection d'un diaporama pour visionner les photos, puis internet pour récolter des informations mais aussi d'autres photos.
 
 
Départ des Terre-Neuvas pour la grande pêche au début du 20ème siècle.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
     L'histoire du Carnaval remonte aux fêtes de la Rome antique. Après le Moyen-Âge, il fallut attendre le milieu du 19ème siècle pour redécouvrir le carnaval, fête populaire.
 
Le Carnaval fut donc une tradition héritée des Terre-Neuvas. Ainsi, dans le département de la Manche, des festivités carnavalesques se déroulaient dans de nombreuses communes. A la fin de la Second Empire, pratiquement aucune ville du département ne fêtait plus le carnaval, à l'exception de Granville. Il faut chercher cette survivance dans le fait que le mardi-gras était en février, au plus tard début mars, période qui correspondait au départ des Terre-Neuvas. C'était le moment où des centaines d'hommes, venus des villages côtiers ou des campagnes voisines, convergeaient vers Granville pour être enrôlés à bord des navires qui armaient vers Terre-Neuve. Tous nos mathurins, surnom donné aux marins, savaient que le métier était pénible, voire dangereux, et que certains ne reviendraient peut-être pas ; ayant reçu une avance de l'armateur, ils participaient aux fêtes carnavalesques auxquelles ils apportaient leur joie de vivre.
 
A la fin du 19ème siècle, l'armement pour Terre-Neuve déclina. Au début du 20ème siècle, le grand départ des Terre-Neuvas pour la grande pêche. En 1870, 41 navires arment pour Terre-Neuve, puis 27 en 1895. Le chiffre remonta un peu les années suivantes, mais ils ne furent plus que 24 en 1914. La fête perdit son éclat et beaucoup se demandaient même si le carnaval passerait le cap du 20ème siècle. La population s'en inquiétèrent et demandèrent à la municipalité d'intervenir. Dès 1898, les festivités prirent un nouveau départ et les Granvillais découvrirent les bonhomme Carnaval ; quelques années plus tard, les fondements du Carnaval actuel étaient établis. Une tradition qui a su traverser les siècle jusqu'à nos jours. En 1902, la commission municipale des fêtes créée les comités de quartier et décide l'année suivante que la Cavalcade (= défilé des chars) aurait désormais lieu le dimanche. Ensuite en 1923, la venue de la République de Montmartre. Puis en 1968-2003, l'entrée devient payante le dimanche pour voir la Cavalcade. Enfin en 2016, l'inscription du Carnaval au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO (= Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture).
 
     L'inscription du Carnaval de Granville le 30 novembre 2016 au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO était une partie loin d'être gagné. Il aura fallu patience, voire acharnement et un petit grain de folie pour que cette idée, germée en 2009, prenne finalement racine. Une idée née d'une bande de copains : A.B, JP.D, R.G, Y.G, D.L et D.L. « Une candidature lancée un peu par hasard, voire par erreur », reconnaît D.L, l'un des grands artisans de cette reconnaissance internationale. Le jeune homme aura le mérite d'aller jusqu'au bout de sa démarche, jusqu'à présenter la candidature du Carnaval de Granville au ministère de la Culture en janvier 2014.  
« Le temps du trajet, nous nous demandions ce que nous allions bien pouvoir raconter à tous ces experts... Finalement, nous avons décidé de rester naturel » se souvient-il. Une stratégie gagnante comme le montre l'issue que nous connaissons aujourd'hui... Même le Carnaval de Dunkerque, avec ses lancers de harengs, ou celui de Nice, et sa parade de géants n'ont pas eu ce privilège!
 
Tiré de la revue de la Manche Libre
Spécial Carnaval de Granville.
 
Mais malgré des efforts de la part de cette bande de copains, des bruits courent dans le département de la Manche, le Carnaval ne serait pas encore rentré dans le patrimoine de l'UNESCO. Un des professionnels de l'organisation était présent au Carnaval est d'après lui, l’alcool serait trop présente durant ces 5 jours. Il se pourrait que la candidature pose problème pour le Carnaval de Granville. Affaire à suivre!
 
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     Cette année, 44 chars aux thèmes divers et variés suivaient les actualités du moment, surtout au niveau local et quelques uns au niveau national. Notamment, les tensions au sein de la mairie Granvillaise qui à fait polémique et qui a inspiré plus d'un chars, certains ayant même la tête de la maire de la ville. Il y a eu 3000 personnes bénévoles présents sur les chars de la Cavalcade. Mais surtout plus de 500 personnes qui travaillaient sur la construction des chars et certains depuis le mois de septembre.
 
     Durant ces 5 jours de festivités le programme était très riche et variés,
le vendredi 24 mars, le Carnaval ce lance avec le concert d'ouverture donné à la maison du Carnaval avec le groupe « La Caravane passe ».
Le samedi 25 mars, la journée commence à 14h avec la remise des clefs de la ville à sa Majesté « Baudrodateur 1er, Roi des parkings payant et de la tirelire municipale » puis suivie de la relise des clefs, à 14h15 la Cavalcade des enfants; et la journée se termine par un bal costumé à la maison du Carnaval.
Le dimanche 26 mars, sera la journée phare de ces 5 jours de festivité, avec la grande Cavalcade et son défilé avec une quarantaine de chars, il a commencé à 13h30 jusqu'en fin d'après-midi.
Le lundi 27 mars, aura été une journée consacrée aux différents bals, à 14h30, le bal des Toujours jeunes à la salle Saint-Nicolas; à 19h, le bal à Papa à la maison du Carnaval et à la même heure, le bal à Maman à la salle du Hérel. Et pour la dernière journée,
le mardi 28 mars, aura été clôturée par le jugement du Roi (= bonhomme du Carnaval brûlé) qui aura lieu sur la place du Port à 16h30 et pour finir la bataille de confettis qui qui a eu lieu à la place de la Mairie à 18h.
 
Tiré de la revue de la Manche Libre
spécial Carnaval de Granville.
 
 
Qui sait, peut-être que les résidents du Petit Domaine pourront participer à de ces  après midis au Carnaval l'année prochaine !
 
 
 
L'affiche du 143ème Carnaval de Granville été réalisée par les élèves de l'école Saint-Joseph de Bréhal.
Vendredi 24 mars: Concert la Caravane passe et les Collégiens de School of Rock.Vendredi 24 mars: Concert la Caravane passe et les Collégiens de School of Rock.

Vendredi 24 mars: Concert la Caravane passe et les Collégiens de School of Rock.

 Samedi 25 mars: Cavalcade des enfants. (Photo flou pour respecter l'identiter des enfants)

Samedi 25 mars: Cavalcade des enfants. (Photo flou pour respecter l'identiter des enfants)

Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.
Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.
Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.
Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.

Dimanche 26 mars: Grande Cavalcade et son défilé.

Lundi 27 mars: Bal des Toujours jeunes, Bal à Maman et Bal à Papa.Lundi 27 mars: Bal des Toujours jeunes, Bal à Maman et Bal à Papa.
Lundi 27 mars: Bal des Toujours jeunes, Bal à Maman et Bal à Papa.

Lundi 27 mars: Bal des Toujours jeunes, Bal à Maman et Bal à Papa.

Mardi 28 mars: Le jugement du Roi et la Bataille de Confettis.
Mardi 28 mars: Le jugement du Roi et la Bataille de Confettis.Mardi 28 mars: Le jugement du Roi et la Bataille de Confettis.
Mardi 28 mars: Le jugement du Roi et la Bataille de Confettis.

Mardi 28 mars: Le jugement du Roi et la Bataille de Confettis.

Anciennes photos et affiches du Carnaval de Granville.Anciennes photos et affiches du Carnaval de Granville.
Anciennes photos et affiches du Carnaval de Granville.
Anciennes photos et affiches du Carnaval de Granville.Anciennes photos et affiches du Carnaval de Granville.

Anciennes photos et affiches du Carnaval de Granville.

Affiche du Carnaval de Granville de 1951: Roger Soubie, surnommé "l'Américain", il était l'affichiste préféré des sociétés de production de cinéma américaines pour lesquelles il réalisera plus de 2000 affiches de 1930 à 1960.

Affiche du Carnaval de Granville de 1951: Roger Soubie, surnommé "l'Américain", il était l'affichiste préféré des sociétés de production de cinéma américaines pour lesquelles il réalisera plus de 2000 affiches de 1930 à 1960.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 11:45

 

 

Cahier de poésie de Mme R.

 

"Le départ des hirondelles"

Théophile Gautier

Poète et romancier

 

 

                                                   IMG_8146.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 15:19

 

Tout le monde ici a entendu parler du Carnaval de Granville, festivité offerte chaque année aux bas-normands et aux nombreux touristes venus dans la Manche pour l'occasion.

 

C'est un événement très attendu également a l'EHPAD Paul Poirier de Granville car chaque année, les reines du Carnaval sont conviées à un repas ou la fête bat son plein.

Et quelques personnes de notre établissement prennent part parfois avec plaisir à cet événement qui rassemble plusieurs autres résidants.

 

Le carnaval de Granville célébrait autrefois le départ des marins qui profitaient de la fête avant de s'embarquer vers l’île de Terre Neuve.

 

Voilà trois ans que le comité organisateur du Carnaval de Granville souhaite être reconnu au niveau international comme patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO. Son dossier de candidature pour l'obtention d'une telle distinction sera finalement déposé  en mars de cette année. Les granvillais s'étant donnés le temps pour la préparer.

 

Actuellement, seule la dentelle d'Alençon est reconnue patrimoine culturel immatériel dans la région Basse Normandie.

 

Cette année ce sont les bretons, voisins proches, qui ont réussi le pari de faire du fest -noz (« fête de nuit »en breton) un nouvel élément de ce patrimoine immatériel de l'humanité. 

 

 

 

 

Témoignage de Marie-Louise L.,

 

Marie Louise a habité Granville entre 1943 et 1953. Elle se souvient du premier carnaval après la guerre en 1946 ou 47.

 

« Il était tout simple, bien entendu, mais il y avait une certaine animation . Sa reprise avait eu lieu malgré la misère.

Il faut savoir que Granville était zone interdite pendant la guerre. Ses habitants étaient isolés et certains avaient dû accueillir des allemands chez eux. Granville était devenu une forteresse allemande.

Le grand patron du carnaval, grand, costaud, était un droguiste et avec d'autres commerçants, ils ont remis cela en place tout doucement.

Il y avait encore quelques américains présents sur la ville.

Les gens n'avaient pas d'argent pour acheter de beaux costumes. Mais ils avaient beaucoup de cœur dans la préparation. C'était la valse des confettis, des masques fabriqués par les mamans et des farandoles. Il y avait de l'ardeur car tout le monde était content.

C'était génial mais un peu triste à cause du décalage terrible entre la guerre et la joie de la liberté après ces années terribles. »

 

 

 

 

Bref récit récolté un jour par Annie, infirmière retraitée :

 

Souvenir d'enfance.

 

"Nous étions quelques copines et copains pour Mardi Gras à nous chercher un déguisement. Soit avec des vieux vêtements trouvés dans le grenier, soit en rassemblant quelques fringues auprès des grands parents. Nous faisions un masque puis nous nous retrouvions en début d'après midi pour faire le tour de la commune en chantant et en tapant aux portes des habitants. Certains nous offraient des crêpes, ils cherchaient qui se cachait derrière le masque. On dansait, on chantait, on mangeait des bonbons et gâteaux que les gens nous donnaient. Nous étions heureux de fêter carnaval de cette façon."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 15:37

En Octobre dernier, nous nous sommes rendus à une exposition de maquettes du Mont Saint Michel, organisée par le Centre Hospitalier de Pontorson dans le cadre des journées du patrimoine.
Nous avons été accueillis par nos deux guides du jour, Laurence et claude.
Ceux-ci nous ont expliqué comment ont été construites les voutes romanes, en prenant pour exemple celles de la crypte de la chapelle Saint Martin.


Après cette explication est venu pour nous le temps du montage de sa maquette : placer d'abord les piliers, les contreforts puis les cales qui vont permettre d'installer le cintre.





Monter ensuite  pierre par pierre  le mur, en commençant par les sommiers. Toutes ces pierres taillées en biseau qui forment l'arc de voute sont appelées les claveaux.
Finir par la dernière pierre, la clé.





Arrive l'épreuve finale qui attestera que nous sommes de  bons tailleurs de pierres : retirer en douceur les cales, puis le cintre qui supportait le tout.





Après notre victoire, Laurence et Claude nous ont raconté l'histoire du Mont Saint Michel à travers le temps, avec ses différentes étapes de construction et de reconstruction :


Construction de Notre Dame Sous Terre Xéme siécle
Construction des cryptes et de l'église romane   1023-1084
Construction  de la Merveille (architecture gothique)   1211 -1228
Construction de  la Salle des gardes, de Belle-Chaise et des logis abbatiaux à partir de 1257
Reconstruction du choeur gothique de l'église   1446-1523.
Incendie de  l'église abbatiale : destruction de trois travées de la  nef   1776
Nouvelle façade de l'église  1780.   
Construction de la flèche et pose de la statue de l'archange   1897










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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 16:42


Nef et transept des XIe et XIVe siècles et choeur du XIVe siècle; clocher Renaissance


 " Quand mon parachute s'ouvrit, j'étais directement au-dessus du clocher de l'église de Sainte-Marie-du-Mont. C'était la pleine lune et le ciel avait peu de nuages. Nous pouvions voir facilement ce qui se passait au sol. Quand je regardai en bas, je vis Sainte-Marie-du-Mont. Ca ressemblait à la photo que j'avais tant étudiée à Upottery.

Je sus, sans équivoque, que j'étais au-dessus du clocher de l'église de ce petit village français. "

David Buck Rogers Parachutiste Américain

First Sergeant, Hq Co, first Battalion, 506ième PIR, 101first Airborne Division



Photo prise avant le retour pour Saint Hilaire du harcouët

 
Comme l'été dernier, à la mi août, quelques résidants ont été accueillis pour la journée à la maison de retraite de Ste Marie du Mont, avant une visite proche de la plage du Débarquement Utah Beach.
Après un déjeuner commun, nous nous sommes retrouvés pour chanter des airs connus par tous.

 

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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 15:13

Il y a soixante cinq ans, les résidants de notre structure vivaient la guerre.

L'occasion pour sept d'entre eux de commémorer, un mois avant et à leur manière, le soixante cinquième anniversaire du Débarquement en (re)visitant le musée d'Arromanches.

Un guide a (ré)expliqué les premiers jours de la Libération de la Basse Normandie à l'aide d'une maquette et du visionnage d'un film.

Soixante cinq ans après ce terrible épisode vécu en direct par la plupart des résidants de l'EHPAD qui habitaient le sud Manche, il était essentiel de porter une nouvelle fois attention à cette période si bouleversante.

Depuis deux ans et à leur demande, l'équipe d'animation s'efforce d'accompagner les résidants sur les lieux du souvenir.

Mardi 6 mai 2008

Visite du Musée « Airborn » à Sainte Mère l'Eglise (50)

Vendredi 16 mai 2008

Visite du Musée Uta Beach à Sainte Marie du Mont (50)

Mercredi 4 juin 2008

Journée de commémoration au cimetière américain de Saint James (50)

Jeudi 24 Juillet 2008

Visite de l'abbaye blanche de Mortain, haut lieu de de  résistance.( 50 )

( Août 1944 Contre Attaque de Mortain - "Le bataillon perdu")

Mardi 29 juillet 2OO8

Visite du village martyr à Oradour sur Glane (87)

Mercredi 30 juillet 2008

visite du site d'un ancien camp d'internement tsigane à Montreuil Bellay (49)

Samedi 11 octobre 2008

Invitation à l'inauguration d'une stèle de commémoration installée sur le site d'un ancien camp d'internement tsigane, prés de Barenton ( 50 )

Dimanche 15 février 2009

Visite du Mémorial à Caen (14)

Mardi 19 mai 2009

Visite du Musée du Débarquement à arromanches ( 14 )

 

 

 

 


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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 11:09

Dimanche 15 février prochain, des résidants de l’établissement vont visiter pour la première fois ce musée du souvenir de la Seconde Guerre Mondiale inauguré en 1988.

Après la visite, les six personnes concernés retrouveront les élèves d'une classe du lycée Rémy Beleau de Nogent Le Rotrou et leur professeur d’histoire.

Ils se connaissent après avoir sympathisé et échangé pendant toute l’année scolaire 2007/2008 .

Une correspondance intergénérationnelle et deux rencontres en Normandie ont permis d’aborder certains thèmes importants de cette Seconde Guerre Mondiale, à travers quelques témoignages de résidants ayant vécu l’occupation allemande et le débarquement en Normandie.

Répondants aux questions de leur(e) filleul(le)de cœur, chacun a pu raconter sa vie au quotidien pendant l’occupation, son vécu de la résistance, du débarquement et de la France libérée.

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